Rouxel Transport

Des hommes et des femmes passionnés

Formateur

Jean-Michel P.

« Après avoir été conducteur pendant quatorze ans, la direction m’a proposé un poste de formateur. C’est génial de partager son expérience, d’apporter sa sensibilité et son écoute au service des autres conducteurs. C’est un poste de fort relationnel, où j’essaie de mettre le plus de simplicité possible, pour créer de l’échange. L’intégration à l’entreprise est nécessaire pour chaque conducteur, qui n’est jamais laissé seul, dès son entrée chez Rouxel, pour qu’il s’imprègne de la culture et des méthodes de l’entreprise. Mon rôle au quotidien est aussi de permettre à tous les conducteurs d’être formés. Nous faisons passer ici 100 FCO (formation continue obligatoire pour les conducteurs de poids-lourds) chaque année. Nous voyons tous les chauffeurs au moins une fois par an, pour des formations à la qualité, à la sécurité, à l’hygiène… Mais aussi pour des formations client : chaque entreprise a des procédures spéciales et nous nous devons de nous y conformer. Tous nos conducteurs sont ainsi formés pour pouvoir accéder à l’ensemble des sites de nos clients. »

Exploitant, responsable d'agence

Plaintel

Fabien D.

« Je gère au quotidien 25 conducteurs spécialisés dans les travaux publics et l’équarrissage. Mon rôle va du recrutement des chauffeurs au suivi de la clientèle en passant par la définition des tarifs, la mise à disposition des moyens nécessaires pour répondre aux demandes, etc. Mes chauffeurs interviennent avec des centrales béton ou à enrobé sur les Côtes d’Armor pour des chantiers de TP, des carrières… Un travail très varié, très prenant, dans lequel il faut anticiper, mais où l’on ne s’ennuie jamais ! En TP, l’humain est très important, le travail n’est pas toujours facile, notamment quand il s’agit de transporter des bennes d’équarrissage, où l’odeur est forte… J’essaie donc d’être compréhensif et toujours à l’écoute de mes conducteurs, qui travaillent jour et nuit. »

Agent d'exploitation citerne plate

Nathalie V.

« Je suis entrée chez Rouxel en 2001 pour un remplacement, et j’y suis toujours ! Je me sens bien dans mon environnement de travail. Depuis toutes ces années, j’ai tissé des liens avec les 63 chauffeurs dont je gère le planning. Je sais quand ils vont bien et moins bien ! Écoute et rigueur sont deux qualités essentielles d’un agent d’exploitation. Quand nous recevons les commandes d’un client, nous attribuons la mission à un chauffeur en fonction de la destination géographique. Parfois il faut savoir jongler, mais notre force est la polyvalence de nos conducteurs, que nous connaissons très bien et avec qui le dialogue est constant. Pour faire vivre ce savoir-faire acquis dans l’entreprise, je forme un jeune en alternance. Le transport est un métier d’avenir, j’en suis convaincue. »

Conducteur

Jean-Yves P.

« J’ai attrapé le virus de la conduite depuis tout petit, avec mon père, qui était routier. Parfois j’allais avec lui dans le camion ! Je travaille dans l’entreprise depuis presque trente ans, comptabilisant 3 millions de kilomètres, soit 100 000 km par an en moyenne ! Et jamais il n’y a d’accrochage avec l’exploitation. Même avec les jeunes, on se parle, on se fait confiance : si je constate qu’un trajet n’est pas pratique avec les matières que je transporte, je le dis. Et puis, aujourd’hui, on reste en lien, grâce à notre terminal connecté. Au début, on n’en voulait pas, mais c’est bien pratique pour suivre mon programme de la semaine et garder toutes les informations nécessaires. Je fais des trajets régionaux, nationaux et parfois à l’étranger, en Belgique, au Portugal, en Espagne. C’est fabuleux de traverser tous ces paysages ! »

Responsable de quai

Izen N.

« Je suis entré chez Rouxel à l’âge de 18 ans, après mon BEP-CAP conduite et un Bac Pro exploitation logistique. Depuis tout petit, j’avais envie de voyager. J’ai beaucoup appris au fil du temps et de mes trajets régionaux, nationaux et même internationaux. J’ai aimé partager, m’intéresser aux gens et aux matériaux transportés. Mais quand ma fille est née, j’en ai eu assez de partir à la semaine. J’ai reçu une écoute attentive de ma hiérarchie, qui m’a proposé de travailler en citerne zone courte. Je rentrais tous les soirs. Jusqu’à ce que je me fasse une fracture, je ne pouvais plus monter sur une citerne ! Là encore, l’entreprise m’a trouvé une solution : on m’a proposé de gérer le stockage à Vannes, une nouvelle activité pour Rouxel à l’époque en 2007. J’ai appris, sur le terrain et par ma formation, à être organisé, à gérer les entrées et sorties de matériaux. Tous les jours, il faut préparer des commandes pour livrer une dizaine de clients différents en colis ou palettes. Depuis sept ans, je suis devenu responsable de quai, sur le site de stockage des surgelés. Je continue de préparer des commandes, avec mon équipe de deux collaborateurs. Mon travail a évolué, et moi aussi ! »

Conducteur

Pierre D.

« Etre conducteur en TP, c’est travailler en équipe. Il faut aussi savoir parfaitement manœuvrer, mais surtout savoir s’adapter, car on peut conduire aussi bien une benne qu’un 8×4 ou un 6×4, parfois une remorque ampliroll… Le métier nécessite d’être polyvalent et toujours prêt à partir, même de nuit pour travailler sur des enrobés. La spécificité, c’est que l’on travaille avec des entreprises différentes, ce qui oblige à s’adapter à chaque fois à leurs méthodes. »

Responsable de la station de craquage

Jean-Baptiste P.

« Depuis mon entrée dans l’entreprise, j’ai conduit tous types de camions : des toupies, des citernes plates ou basculantes, des plateaux, etc. Je me suis beaucoup formé sur le tas, en apprenant de mes collègues et lors de formations continues. Il faut savoir s’adapter pour progresser ! Depuis un an, je suis responsable de la station de craquage. Je dois gérer l’entrée des produits qui arrivent par container en palettes ou big-bag (poudre de lait, charbon actif, matières première pour l’alimentation animale…), craquer ensuite les big-bag pour les passer en citerne. Enfin, il faut gérer leur chargement vers la sortie. Le craquage est un véritable service rendu au client, ce qui demande une très bonne organisation, et une assiduité sans faille. Je dois savoir être à l’écoute des chauffeurs, mais nous avons la chance de travailler dans une entreprise où la communication est facilitée. »

Mécanicien poids lourds

Benoît T.

« Mon travail consiste à entretenir et réparer les camions de l’entreprise. Je dois aussi préparer les véhicules pour les contrôles techniques annuels et pour les passages aux mines. Nous gérons ainsi trois camions par jour. C’est de la grosse mécanique, et c’est cela qui me plaît ! Mon activité est également très riche puisque je connais toutes les marques et leurs spécificités. Les équipes dirigeantes de Rouxel sont à l’écoute de nos problématiques, et sollicitent régulièrement notre avis sur la nécessité de nouveaux équipements. J’ai par exemple pu consulter les fournisseurs pour trouver des clés à choc plus légères. »

Responsable opérationnel

Alexandre R.

« Mon rôle est de faire le lien entre les cinq agents d’exploitation de Rouxel Citerne qui, eux, gèrent les chauffeurs au quotidien. Je peux remplacer tout le monde au pied levé, ce qui m’oblige à connaître tous nos chauffeurs, tous nos clients, toutes nos spécificités, et ma géographie ! Le principal est de savoir prendre du recul et savoir travailler avec souplesse car les contraintes sont techniques et psychologiques à la fois. Chaque jour est différent et chaque jour est un défi pour trouver les bonnes solutions à chaque problématique. Je dois aussi pouvoir faire le lien entre les différents services, comme avec l’atelier mécanique par exemple. J’ai un rôle de pivot, dont la mission est de fluidifier le travail de l’exploitation pour gagner en efficacité. Alors quand le chauffeur rentre en étant content, que tout s’est bien passé, mon travail est gratifiant. Il faut dire que nous sommes aidés par des moyens matériels qualitatifs et efficaces. »

Conducteur

Thierry K.

« Etre conducteur en TP, c’est travailler en équipe. Il faut aussi savoir parfaitement manœuvrer, mais surtout savoir s’adapter, car on peut conduire aussi bien une benne qu’un 8×4 ou un 6×4, parfois une remorque ampliroll… Le métier nécessite d’être polyvalent et toujours prêt à partir, même de nuit pour travailler sur des enrobés. La spécificité, c’est que l’on travaille avec des entreprises différentes, ce qui oblige à s’adapter à chaque fois à leurs méthodes. »